Vincent est né en 1977 en région parisienne.
Il vit et travaille dans la Creuse, tout en gardant un fort attachement à la ville lumière. Le va-et-vient entre son univers rural creusois et celui des capitales est essentiel à son art.
Loin d’être fermé sur lui-même, l’univers artistique de Vincent est ouvert à tous. Il considère l’art comme un jeu à partager.
Généreux, brillant, un peu clinquant, habité par une profondeur introspective, Vincent est à l’image de ses œuvres.
En 2005-2006, il reçoit une commande du Musée de la Chasse et de la Nature et entre dans leur collection permanente. La même année, il participe à l’ouverture de la Carpenters Workshop Gallery.
Il est le plus jeune artiste de cette nouvelle galerie qui souhaite promouvoir une autre forme de mobilier, moins attachée au design qu’à l’art, à la fonction qu’à la forme. Pour Vincent, le mobilier n’est qu’un prétexte pour explorer le sens de l’art. Il n’est pas une fin mais un moyen d’incarner l’acte artistique dans la matière.
Empruntant au constructivisme et au brutalisme une certaine vision de l’art, Vincent conçoit ses objets en étroite relation avec l’espace, l’architecture et la vie quotidienne.
Entre ses mains, l’objet dépasse sa fonction fonction et devient esthétique, poétisant la vie ordinaire. Ses meubles, loin des formes lisses et aseptisées de l’industrie lisses et aseptisées de l’industrie, sont imaginés comme des «familles à penser» : Vortex, le Vortex, Nouvelle-Zélande, Gaïa imprint, Reverse Chairs, etc.
Le travail de Vincent est un voyage dans l’entre-deux, il traverse les mondes, ouvre des portes, transforme l’habituel en ambiguïté en nous montrant sa face cachée, et élargit les visions de l’espace habité.
Il vit et travaille dans la Creuse, tout en gardant un fort attachement à la ville lumière. Le va-et-vient entre son univers rural creusois et celui des capitales est essentiel à son art.
Loin d’être fermé sur lui-même, l’univers artistique de Vincent est ouvert à tous. Il considère l’art comme un jeu à partager.
Généreux, brillant, un peu clinquant, habité par une profondeur introspective, Vincent est à l’image de ses œuvres.
En 2005-2006, il reçoit une commande du Musée de la Chasse et de la Nature et entre dans leur collection permanente. La même année, il participe à l’ouverture de la Carpenters Workshop Gallery.
Il est le plus jeune artiste de cette nouvelle galerie qui souhaite promouvoir une autre forme de mobilier, moins attachée au design qu’à l’art, à la fonction qu’à la forme. Pour Vincent, le mobilier n’est qu’un prétexte pour explorer le sens de l’art. Il n’est pas une fin mais un moyen d’incarner l’acte artistique dans la matière.
Empruntant au constructivisme et au brutalisme une certaine vision de l’art, Vincent conçoit ses objets en étroite relation avec l’espace, l’architecture et la vie quotidienne.
Entre ses mains, l’objet dépasse sa fonction fonction et devient esthétique, poétisant la vie ordinaire. Ses meubles, loin des formes lisses et aseptisées de l’industrie lisses et aseptisées de l’industrie, sont imaginés comme des «familles à penser» : Vortex, le Vortex, Nouvelle-Zélande, Gaïa imprint, Reverse Chairs, etc.
Le travail de Vincent est un voyage dans l’entre-deux, il traverse les mondes, ouvre des portes, transforme l’habituel en ambiguïté en nous montrant sa face cachée, et élargit les visions de l’espace habité.